La situation dans laquelle sont mise beaucoup de secteur dans le monde a amené des dirigeants à trouver regrets et à renoncer à leurs tâches. Montbéliard prend u plein exemple. La politique du tourisme décourage les dirigeants.
Des regrets tombent dans ce pays de Montbéliard
Ce n’est parce que la pandémie a fait ravage dans le secteur qu’il faudrait se décourager. On dit souvent que l’union fait la force, mais cela ne se retrouve pas à Montbéliard. Le secteur tourisme n’est pas le seul secteur qui fortement atteint par la pandémie en cours. Beaucoup de secteur comme le secteur automobile ont subi les dégâts. Si l’on se pointe sur le secteur du tourisme avec les dégâts de la pandémie, la France et d’autres pays ont pu trouver des solutions pour lutter contre ce mal.
À Montbéliard, si c’est l’absence d’ambition politique dans le secteur du tourisme, on fait largement le constat. On prend l’exemple d’une agence mise en place par le pays agglomération pour une grande somme afin mobiliser le tourisme de la période 2019-2021. Au lieu de faire concertations avec d’autres organes ou de tricher les solutions prises par les autres pays, elle fait ses regrets. C’est une énorme perte alors. Au lieu d’investir pour la création de cette société, cette somme pourrait contribuer aux choses plus concrètes au pays. Lors du dernier conseil communautaire, Hélène Brandt choisit de renoncer à son poste et évoque une situation grave face à la politique du tourisme du pays. « Je ne pensais pas partir dans ces conditions ; cela me fait mal au cœur » laisse-t-elle derrière elle.
Les dirigeants doivent se tenir la main
S’il se relance, le tourisme de Montbéliard va se reprendre vit. Dans ce pays, le budget du secteur est faible. 600 000 euros pour le budget du tourisme alors que d’autres pays qui ne sont pas de taille avec Montbéliard dispose de plus d’un million pour budget du tourisme. Le gouvernement doit investir pour faire revivre le secteur.